Sac à dos ou valise...?

Au lycée (c'est à dire il y a bien longtemps...hein Aabcen..? ), il y a eu cette phrase qu'à l'époque j'avais du mal à comprendre :

"Partir c'est mourir un peu.."
Qu'en pensez vous..?

ba a mon avi ca ne l'est pas enfin pas pour moi mais si l'on est vraiment attaché a l'endroit ou lon abite alor oui sa peut étre vrai

Tout dépend du contexte, quant tu part d'une prison, ce serais plutôt "Partir, c'est revivre", mais quant tu part d'un endrois qui t'est cher, c'est effectivement perdre une partie de sois…


Mais faut toujours avoir conscience, que l'on peu trouver autres choses là ou l'on vas, qui peu compenser largement cette perte.

Qu'est-ce que partir ? Le départ vers de nouveaux horizons ? Certes. Un changement ? Oui probablement. Partir, c'est aussi commencer une nouvelle chose, revivre. Ne serait-ce pas antinomique avec mourir ? Sûrement pas si on envisage "partir" comme commencer une chose en en ayant terminé une autre. Partir et mourir deviennent alors complémentaire. Ceci nous renvoie à la nature de l'homme. N'est-ce pas son leitmotiv de commencer et d'évoluer, tout en terminant ce qu'il a entrepris ? La nature nous fait évoluer (on part bien de l'enfance, pour passer par l'adolescence, puis la vie adulte et la vieillesse) ; aussi, le départ ou le nouveau départ n'est que la première étape de l'éternel recommencement de la vie humaine.

Mais alors, qu'est-ce que mourir ? S'éteindre ? S'affaiblir ? Ou ne doit-on pas l'interpréter comme le passage d'un monde vers un autre ? Dans toute religion, la mort n'est que le départ de l'esprit de l'enveloppe corporel vers un autre monde. Si nous restons plus terre-à-terre, "mourir" envisagé en terme de voyage serait laissé notre empreinte pour l'imprimer ailleurs. Mais pour revenir au premier sens, partir serait éteindre son existence en un lieu et non son existence au sens strict du terme, puisque que partir permet également le recommencement.

Ainsi, en entendant cette expression "partir c'est mourir un peu", il s'agirait d'envisager la chose comme la fin d'une histoire permettant d'en recommencer une autre, tout en ayant acquis l'expérience de son existence passée. Bref, n'oublions pas une chose, chacun apporte une petite pierre à l'édifice de l'humanité... mourir et partir ne montreraient que nos actions et les instruments à notre disposition pour construire ce bâtiment.

John Smith a écrit:

Qu'est-ce que partir ? Le départ vers de nouveaux horizons ? Certes. Un changement ? Oui probablement. Partir, c'est aussi commencer une nouvelle chose, revivre. Ne serait-ce pas antinomique avec mourir ? Sûrement pas si on envisage "partir" comme commencer une chose en en ayant terminé une autre. Partir et mourir deviennent alors complémentaire. Ceci nous renvoie à la nature de l'homme. N'est-ce pas son leitmotiv de commencer et d'évoluer, tout en terminant ce qu'il a entrepris ? La nature nous fait évoluer (on part bien de l'enfance, pour passer par l'adolescence, puis la vie adulte et la vieillesse) ; aussi, le départ ou le nouveau départ n'est que la première étape de l'éternel recommencement de la vie humaine.

Mais alors, qu'est-ce que mourir ? S'éteindre ? S'affaiblir ? Ou ne doit-on pas l'interpréter comme le passage d'un monde vers un autre ? Dans toute religion, la mort n'est que le départ de l'esprit de l'enveloppe corporel vers un autre monde. Si nous restons plus terre-à-terre, "mourir" envisagé en terme de voyage serait laissé notre empreinte pour l'imprimer ailleurs. Mais pour revenir au premier sens, partir serait éteindre son existence en un lieu et non son existence au sens strict du terme, puisque que partir permet également le recommencement.

Ainsi, en entendant cette expression "partir c'est mourir un peu", il s'agirait d'envisager la chose comme la fin d'une histoire permettant d'en recommencer une autre, tout en ayant acquis l'expérience de son existence passée. Bref, n'oublions pas une chose, chacun apporte une petite pierre à l'édifice de l'humanité... mourir et partir ne montreraient que nos actions et les instruments à notre disposition pour construire ce bâtiment.

ba dis donc on sens tout de suite que tu as fait des études toi lol
je conprend mieux pourquoi tu repére si bien mes fautes lol

Et je serai un éternel étudiant !

Perso, je suis tout a fait d'accord avec l'expression "partir c'est mourrir un peu".

Car ou que l'on soit, on y a des attaches (des bons souvenirs, des personnes proches...), ainsi c'est laisser une partie de soi derrière lorsque l'on quitte un endroits, d'ou mourrir un petit peu.

Mais cette mort n'est qu'un prélude à une "naissance" nouvel endroits, nouveaux souvenirs, nouvelles personnes.....

Si tu meurs un peu en partant je te donne un p'tit morceau de vie pour que tu meurs qu'un demi peu...

Partir c'est mourrir un peu,


Je dis que oui car on délaisse derrière soit toute une histoire qui forge et créée la personnalité d'un individu.
Mais en général, lorsque l'on part c'est le commencement d'une nouvelle vie on peut donc dire qu'il s'agit d'une "Renaissance de soit" et finalement, cette nouvelle vie ne peut qu'être que meilleur que celle vécu précédement du fait de l'expérience acquis.

je pense que tout dépend du contexte

Si l'on part d'un endroi qui nous est cher effectivement cela peu être la mort d'une partie de soi correspondant a ce lieu

Mais sinon cela peu aussi être renaitre voir commencer a vivre

Dans tous les cass lorsque l'on part d'un endroi on en meur.. pourquoi cela?

on y est plus n'est ce pas?

un prisionnier qui sort de prison voit un prisionnier mourir mais aussi un nouvel homme revivre

(un exemple parmi beaucoup d'autres )


Je pense que vous aurrez compris ma vision ^^ =D =)

mais dis donc, que de sujet très philosiphiques ici, sa fait mal a mon cerveau